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Olovio disait: «Il est temps qu'on le sache:
J'adore une beauté sans rivale ici-bas.
Son derrière est semblable aux poumons d'une vache
Et deux loques de chair sortent de ses appas.

J idolâtre ses pis en forme de concombres
Mollement suspendus et flasques à ravir.
Le soir, elle les noue, en fait des coques sombres
Et, rougissante un peu, m'enseigne à m'en servir.

Je ne puis comparer sa bouche épaisse et bleue
Qu'à ce je ne sais quoi dont l'aspect nous sourit
Dès qu'une jument noire élève au ciel sa queue.
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