Parce que strictement de par le double fer
Le deuil bref aplani d'aspect viril se dresse,
Parce que, sur ta fleur où vit l'ardeur d'Arès,
Une ombre en linéaments rares se profère,
Et qu'aussi la stature et le geste d'avoir
Comme encore si peu d'aurore émaciée,
Disent à Celui-là l'imaginaire acier
Dont la garde s'efflore en jeune dieu d'ivoire,
Il me plaît, comme aussi l'opposé, conquérir
Le caprice animal d'attendre et de sourire
Où subjugue une intervertie aux doigts rétifs,
Le héros, grave de sa fureur qui s'ennuie,
En navrant, symétrique et protecteur, la nuit
Cyclopéenne au fond des parts respectives.
Le deuil bref aplani d'aspect viril se dresse,
Parce que, sur ta fleur où vit l'ardeur d'Arès,
Une ombre en linéaments rares se profère,
Et qu'aussi la stature et le geste d'avoir
Comme encore si peu d'aurore émaciée,
Disent à Celui-là l'imaginaire acier
Dont la garde s'efflore en jeune dieu d'ivoire,
Il me plaît, comme aussi l'opposé, conquérir
Le caprice animal d'attendre et de sourire
Où subjugue une intervertie aux doigts rétifs,
Le héros, grave de sa fureur qui s'ennuie,
En navrant, symétrique et protecteur, la nuit
Cyclopéenne au fond des parts respectives.
Reviews
No reviews yet.